📢🚨 Sur votre facture d’électricité, ce ne sont plus des kilowattheures que vous payez, mais des taxes aux noms absurdes et aux justifications douteuses. On vous parle d’“accise”, de “contribution au service public de l’énergie”, de “TICFE”, de “CSPE” ou encore de “part acheminement”. Des lignes opaques, qui changent de nom tous les deux ans, comme pour mieux nous perdre. Officiellement, c’est pour financer la transition énergétique, le service public, la solidarité, l’étiquetage, ou même “la compétitivité”… mais dans les faits, c’est une machine à nous ponctionner. Chaque fois qu’on nous vend une réforme tarifaire, on l’enrobe d’un discours technocratique confus, truffé de sigles et d’acronymes. C’est une stratégie bien rodée : faire passer une augmentation de 10 % en parlant de “réindexation”, “harmonisation” ou “mise en conformité européenne”. On remplace une taxe par une autre, on maquille l’impôt en “part fixe” ou en “ajustement conjoncturel”. Et au final, c’est toujours nous qui payons plus, pour moins. Ce n’est pas une politique énergétique, c’est une politique d’appauvrissement. Et cette bureaucratie technocratique, qui prétend veiller à l’intérêt général, agit surtout comme un bras fiscal déguisé. Une machine à traire les classes moyennes, à coups de discours flous, d’étiquettes vertes et de solidarité forcée. On vous explique que c’est pour “la planète”, mais pendant ce temps, les grands groupes profitent de tarifs négociés, les interconnexions européennes nous imposent des hausses venues de l’étranger, et nos barrages publics sont bradés à des intérêts privés. La vérité, c’est que cette facture d’électricité n’est plus un prix, c’est un impôt déguisé. Et tant que nous resterons hypnotisés par les mots creux des technos, ils continueront de nous faire les poches, ligne après ligne, sous couvert de “régulation”.